La journaliste et maître Reiki, Maria Cicuendez, nous parle de la vie, de l'importance d'être positif et de la nécessité de savoir que nos rêves peuvent devenir réalité : qu’ils se transforment ou non en réalité, cela ne dépend que de nous-mêmes.
Il est temps d'abandonner les plaintes et les discours pessimistes répétitifs et sans signification et de commencer à prendre la responsabilité des changements positifs dans notre vie, de cesser de vivre « en automatique » et de trouver ces outils qui nous aident à cette évolution que nous désirons, mais que nous ne nous efforçons pas vraiment à atteindre. Peut-être qu'il est plus facile de rêver de quelque chose que de le faire vraiment... Peut-être que nous préférons simplement la commodité de rêver... Plutôt que de mettre tout nos efforts pour atteindre ce qui promet tant... au moins dans nos fantasmes...
Sans nous en rendre compte, la plupart du temps, nous nous laissons au pessimisme ou à la victimisation qui pullule dans l'air comme une sangsue... Il est temps de nous arrêter et de prendre conscience de la façon dont nous agissons. Il est temps de « reprendre » l’attitude exemplaire du peuple japonais face à la misère. En effet, ces derniers ne montrent pas leur douleur déchirante en public par respect pour les autres, puisque selon leurs coutumes établies, ces preuves de chagrin affecteraient de façon nocive les gens qui les entourent.
Il est vrai qu’il existe des situations très douloureuses et auxquelles on ne sait pas comment faire face, mais il est également vrai qu'il y a des outils pour surmonter ces épreuves de la vie. Si nous acceptions que tout ce qui nous arrive est « un apprentissage », peut-être que nous aurions plus de forces pour faire face à « ce que la marée apporte chaque jour »...
Peut-être que notre manque de préparation à l'adversité réside, de manière inconsciente, dans le fait de vouloir ignorer ce qui « ne fait pas plaisir dans la vie », tomber dans l'hédonisme, sans nous rendre compte que les contretemps sont obligatoires pour tous et que mûrir implique de rompre notre dépendance à l'harmonie et de participer avec intégrité aux tensions du monde.
De là un avertissement sur les valeurs selon lesquelles nous éduquons nos enfants. Les surprotéger et les choyer excessivement en les couvrant de cadeaux pour justifier nos absences leur apportera seulement des difficultés à long terme. C'est une tâche compliquée que d’apprendre aux enfants à marcher dans la vie, mais les parents apportent avec eux la sagesse de leurs ancêtres et sauront trouver le moyen de faire croître réellement les générations futures avec force face à leur parcours initiatique.
La vie est le professeur qui nous apprend à travers toutes les étapes que nous devons surmonter. Partout où nous regardons, un signal apparaît et nous indique un message, mais la manière dont nous réagissons à ce stimulus est un choix propre à chacun. La route est solitaire et indépendante, et même si nous faisons tous partie d'un grand réseau, d’un macrocosme collectif, nous sommes des êtres individuels dans notre microcosme personnel et nous avons une liberté de décision sur la façon dont nous voulons que notre présent se déroule.
Des pratiques telles que le Reiki, la crystallothérapie, le chant, le massage sonore et un large éventail d'autres outils, nous aident à identifier des blocages émotionnels liés à des sentiments de l'enfance, de l'adolescence et de la maturité que nous n'avons pas surmontés. C’est une « énergie stagnante » liée à des charges psychologiques comme le stress et la peur, mais une fois perçue, exprimée et libérée, elle nous fera nous sentir plus légers pour prendre en charge notre vie.
On dit que là où on porte notre attention, on y met notre énergie, notre force. Si nous décidions de la mettre sur le positif, sur ce qui nous fait nous sentir bien, nous nous connecterions à cette plénitude qui est en nous, en chacun de nous. La transformation s'opèrerait, nous sortirions de notre chrysalide et nous serions alors un papillon avec option de vol dans le nectar des fleurs.
