La chanteuse explique que, durant les premières semaines après avoir accouché, elle pensait avoir pris la pire décision de sa vie. Elle avoue qu’elle avait très peur et que le fait de ne pas être à la hauteur l’obsédait. Plus de détails dans cet article !
La dépression postpartum est une pathologie qui touche près d'un tiers des mères une fois qu'elles ont accouché de leur bébé. Beaucoup n’en parlent pas car elles ont peur d'être jugées et rejetées par une société souvent cruelle et peu empathique. Ce n’est pas le cas de l'artiste britannique Adele, qui a raconté son expérience au magazine Vanity Fair.
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La chanteuse Adele a expliqué qu’elle avait souffert d’une « dépression post-partum grave » et qu’elle était obsédée par son fils. Ses paroles relatent son inquiétude et des symptômes clairs de la maladie : « Je me sentais incapable, comme si j’avais pris la pire décision de ma vie ». Elle a ajouté que, pendant cette étape post-partum « vous ne voulez pas être avec votre enfant, vous avez peur de le blesser et de lui mal faire ».
Les réactions à ces déclarations ne se sont pas faites attendre : d'autres célébrités et associations dédiées au traitement des maladies mentales se sont prononcées en remerciant la chanteuse d’avoir brisé le tabou sur cette maladie. Et, selon la chanteuse, elle a des amies à qui il est arrivé exactement la même chose et qui n’ont pas osé en parler.
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La compositrice et chanteuse a expliqué dans la même interview les difficultés quotidiennes qu’elle a rencontré pour concilier travail et famille. Son fils, âgé de 3 ans, voyage avec elle lors de ses tournées, mais elle avoue avoir des remords au moment de coucher son fils : « Il s’agit toujours de compenser les choses quand vous êtes mère. Cela m’est égal si je ne fais plus jamais rien pour moi-même ».
Malgré le bonheur que son fils Angelo lui apporte, la chanteuse Adele ne pense pas à agrandir sa famille, en raison de l’expérience douloureuse qu’elle a traversée au cours de sa dépression post-partum.
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